Agathe Salmon est bachelière en médecine (UCL, 2013). Elle a obtenu son Master en sciences et gestion de l'environnement à l'Institut de Gestion de l'Environnement et d'Aménagement du Territoire (IGEAT) de l'ULB en août 2016. Elle est actuellement assistante de projet en éducation relative à l'environnement au WWF.
Maxime Lebrun a obtenu son Master en sciences économiques à l'Economics School of Louvain (ESL) de l'UCL en août 2017. Il est actuellement en séjour linguistique en Nouvelle-Zélande.
Sébastien Della Croce a obtenu son Master en sciences de gestion à la Louvain School of Management (LSM) de l'UCL en juin 2017. Il travaille actuellement comme ingénieur Supply Chain à la SNCB.
La culture des coraux: un outil de développement prometteur pour les communautés villageoises de pêcheurs de Madagascar. Et... pour l'écosystème marin.
Isabelle Godin est docteure en Santé Publique, Professeure à l’École de santé publique de l’ULB, et directrice du Centre de recherches Approches Sociales de la Santé.
Solène Sureau est titulaire notamment d'un Master en Macroéconomie (Université de Strasbourg,2007) et d'un Master en Gestion de l'environnement à l'IGEAT (ULB, 2014). Elle y réalise actuellement sa thèse de doctorat sur l'évaluation des impacts sociaux et
En 2005 en Slovaquie, Mateo Cordier effectue son Service Volontaire Européen dans une association promouvant les économies d'énergie. Il démarre alors ses réflexions environnementales. Il vit actuellement à Paris où il a rejoint l'UVSQ, partageant son temps de travail entre l'enseignement et la recherche.
La biodiversité en Wallonie : après Natura 2000, l’heure H
Avec l’intensification des pratiques agricoles et sylvicoles, l’urbanisation des campagnes constitue l’une des principales menaces pour la biodiversité dans notre pays, densément peuplé. Aujourd’hui encore, la conservation de la nature pâtit trop souvent des décisions prises en aménagement du territoire.
Ethnographie d'une municipalité de l'altiplano mam du Guatemala
Julie Hermesse est anthropologue de formation. Elle travaille à l'UCL au laboratoire d'anthropologie prospective et est chargée de recherche au FNRS. Elle est également membre du GIRAF (Groupe Interdisciplinaire belge de Recherche en Agroécologie). Les recherches de Julie Hermesse portent sur les pratiques plus résilientes que des agriculteurs développent ou remettent en place face aux phénomènes hydro-météorologiques forts, tels que les ouragans, exacerbés par les changements climatiques.
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A travers ses recherche sur les savoirs-faire agricoles résilients aux menaces hydroclimatiques, Julie Hermesse est la porte-parole et le relais de la débrouille des populations touchées, de la re-mobilisation des savoirs agricoles et de la transmission de ces pratiques.